Alors oui, je craque ou plutôt je "me" craque. Associer un gâteau de princesse, évidemment rose, sublime, majestueux et hiératique à un hymne grunge, devenu un classique, oscillant entre désillusion adolescente et lo-fi, il fallait oser.
J'ose.
Le climax de cet oxymore se situe certainement dans la chevelure de Kurt Cobain. La faute aux associations d'idées. Parfois mon esprit vogue et divague en apesanteur vers les réminiscences de ma pré-adolescence. Dans mes rêves de petite fille, dans les 90's, je fus une princesse grungy. Paradoxe. Encore. Toujours. Come As You Are.
via MyDay
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