En découvrant l'appartement berlinois du scénographe Sylvester Koziolek,
j'ai pensé au premier vers du "Spleen" de Charles Baudelaire :
"Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle".
L'ambiance de ce lieu est si spéciale, si noire mais pourtant si attirante.
J'imagine cet endroit comme s'il était l'intérieur d'un écrin
ou d'un coffret tapissé de velours noir.
Et ces meubles fifties aux reflets de bijoux adorés
brillent dans l'obscurité.
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